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Le président congolais Denis Sassou-Nguesso est attendu à New York pour participer à la 80ᵉ Assemblée générale des Nations Unies. Un retour sur cette tribune internationale saluée par Rodrigue Nguesso.


Rodrigue Nguesso - Le président congolais Denis Sassou-Nguesso est attendu à New York pour participer à la 80ᵉ Assemblée générale des Nations Unies. Un retour sur cette tribune internationale saluée par Rodrigue Nguesso.

Cette présence coïncide avec les célébrations de l’UN80, qui commémorent les 80 ans de l’ONU et ouvrent une séquence de réformes cruciales pour l’organisation : efficacité accrue, réponses aux crises climatiques, relance des Objectifs de développement durable et choix du futur Secrétaire général.


Pour le Congo, cette participation est une opportunité stratégique : elle permet de renforcer sa visibilité diplomatique, de plaider pour davantage de partenariats internationaux et de rappeler l’importance de la voix africaine dans la gouvernance mondiale.



 
 
  • Photo du rédacteur: Rodrigue Nguesso Officiel
    Rodrigue Nguesso Officiel
  • 17 sept.
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 18 sept.

La douzième édition du Festival international de musique et des arts (Fima) a pris fin le 14 septembre, après trois jours d’euphorie partagée entre public et artistes  dans une atmosphère bienveillante et sereine. Les artistes ont enflammé la scène et le public est venu en nombre. Un événement salué par Rodrigue Nguesso.


Rodrigue Nguesso La douzième édition du Festival international de musique et des arts (Fima) a pris fin le 14 septembre, après trois jours d’euphorie partagée entre public et artistes  dans une atmosphère bienveillante et sereine

De la mode à la comédie jusqu’à la musique,  la dernière journée a illustré à merveille la richesse et la diversité des artistes de la ville de Pointe-Noire. Avec ce festival, la musique et les arts deviennent dans cette ville un lien, un souffle, un territoire commun.

Au moment de boucler cette douzième édition, son promoteur, Médard Mbongo, s’est dit convaincu que cette activité a renforcé la magie de l’expérience,  à l’image des  concerts livrés que l’on ne vit qu’une fois et dont on se souvient pour toujours. « Un immense merci aux artistes, au public, à notre staff, à la population et surtout aux autorités locales, sans qui cette aventure extraordinaire n’aurait jamais pu se dérouler », a dit Médard Mbongo.

Au fil des ans, le Fima a su se bâtir une bonne réputation. Pour cette douzième édition, de nombreuses personnes, musiciens et spectateurs n’avaient qu’un seul mot d’ordre : se faire plaisir.

Comme un doux refrain qui revient sans cesse, c’est le qualificatif '' bon"qui a été le plus utilisé pour évoquer les concerts du Fima,. Pendant ce festival, le public a retrouvé l’excellence sonore et le confort d’écoute qui font partie intégrante de l’ADN de cette manifestation.

Cette année, le Fima a proposé trois belles soirées, aux programmes très variés et de qualité, au cours desquelles sapeurs, modélistes, comédiens et artistes musiciens ont occupé la scène à tour de rôle.

 En effet, cette édition a prouvé que le Fima  peut se réinventer tout en restant fidèle à son âme et à ses valeurs. Pendant la troisième et dernière journée, le groupe Feu des stars dont l’énergie communicative transforme chaque concert en grande fête populaire a émerveillé les mélomanes. Sur scène, il est une expérience sensorielle totale, à la fois cosmique, intime et explosif. Ses musiciens ont enchaîné des compositions originales dans une ambiance chaleureuse et joyeuse pour refermer le festival sur une note de communion et de lumière.

Notons que cette douzième édition du Fima a proposé au public une programmation généreuse, fédératrice et festive, à l’image de son ADN. Le rendez-vous est pris pour l’année prochaine.

 

Article de Hugues Prosper Mabonzo publié le 15 septembre 2025 sur adiac congo

 
 

La décision a été prise le 10 septembre à Bangui au terme des travaux de la 16e session ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac), qui ont vu la République centrafricaine passer le témoin  à la République du Congo à la présidence tournante de cette institution communautaire. Une nomination saluée par Rodrigue Nguesso.



Rodrigue Nguesso. La décision a été prise le 10 septembre à Bangui au terme des travaux de la 16esession ordinaire de la Conférence des chefs d’Etat de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac), qui ont vu la République centrafricaine passer le témoin  à la République du Congo à la présidence tournante de cette institution communautaire.

Le sommet de Bangui a regroupé cinq des six chefs d’Etat de la sous-région, le Cameroun étant représenté par son ministre en charge des relations extérieures, Lejeune Mbella Mbella. Président dédié du Programme des réformes économiques et financières de la Cémac (PREF-Cémac), le chef de l’Etat congolais va désormais présider aux destinées d’une communauté qui aspire à une intégration régionale. Recevant les attributs de la Cémac des mains du président sortant de la Conférence des chefs d’Etat, Faustin Archange Touadera, Denis Sassou N’Guesso s’est félicité de la paix retrouvée à Bangui. C’est ainsi qu’il a remercié le président Touadera, le gouvernement et le peuple centrafricain, ami de longue date du peuple congolais.


« Nous sommes engagés en politique sur le thème du panafricanisme, de la libération de l'Afrique, de l'intégration régionale, du développement. Et donc, nous nous battrons toujours sur ces positions-là et vous pouvez être assurés que le maillet que je tiens est bien entre les bonnes mains d’un panafricain et qui en fera bon usage », a rassuré le nouveau président de la Conférence des chefs d’Etat de la Cémac.  


Présidant la cérémonie de clôture, le président centrafricain, Faustin Archange Touadera, a rappelé que des mesures guidées à la fois par des exigences de rigueur, de solidarité et de pragmatisme ont été prises. « A la question de la situation financière de nos institutions communautaires, nous avons apporté des réponses de nature à mettre fin aux incertitudes récurrentes. Les dossiers soumis par la Commission ont également reçu l'onction appropriée et permettent d'affirmer si besoin en est que nos institutions fonctionnent en dépit des défis de tous ordres. Notre communauté est à la fois un socle et un outil vivant indispensable à l'intégration, hors de laquelle il paraît difficile d'envisager un développement conséquent de nos économies », a-t-il déclaré, rappelant que la Cemac est une terre d'opportunités qui peut aider le monde à renouer avec la croissance.


Selon lui, plus que jamais, le monde a besoin aujourd’hui d’une dynamique de croissance pour prendre à bras-le-corps les multiples défis à relever, notamment le chômage, le déficit budgétaire, la dette, la pauvreté, le changement climatique etc. Les pays de la Cémac ont, a-t-il soutenu, des ressources minières et naturelles abondantes pour jouer un rôle vital dans la dynamique de croissance dont l'économie mondiale a besoin. « L'Afrique centrale est une zone stratégique en raison non seulement de son rôle historique pour les routes terrestres, aériennes et surtout maritimes, mais aussi de la production pétrolière, de l'élevage, de la pêche et de l'exploitation minière et forestière qui en font une zone très convoitée. Ensemble et dans la solidarité communautaire, nous pouvons transformer les énormes potentialités de développement en réalité et surmonter les défis qui ralentissent la marche de notre communauté vers l'émergence », a conclu Faustin Archange Touadera.


Article de Parfait Wilfried Douniama publié le 11 septembre 2025 sur adiac congo

 
 

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