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    Rodrigue Nguesso Officiel
  • 21 août
  • 2 min de lecture

Rodrigue Nguesso se félicite du lancement à Oyo d’une initiative qui place l’autonomisation des femmes au cœur du développement local. Plus de deux cents femmes issues des différents districts du département de la Cuvette et de Mossaka participent depuis quelques jours à une formation de trois mois dans le cadre du programme d’incubation Genius, dédié aux entrepreneures congolaises.


Rodrigue Nguesso se félicite du lancement à Oyo d’une initiative qui place l’autonomisation des femmes au cœur du développement local. programme d’incubation Genius. Rodrigue Nguesso.
Lancement du Programme Genius à Oyo

Après Brazzaville et Pointe-Noire, c’est donc à Oyo que ce programme, porté par la Chambre nationale des femmes cheffes d’entreprises et entrepreneures du Congo, vient s’implanter. Les participantes — commerçantes, agricultrices et entrepreneures — y perfectionnent leurs compétences en inclusion financière, levée de fonds, rédaction de business plan, gestion d’entreprise et marketing.


Selon Flavie Lombo, présidente de la Chambre nationale, les problématiques abordées permettront d’améliorer la performance des activités locales. Elle a souligné que « le lancement du programme Genius à Oyo ambitionne la valorisation des filières agricoles à fort potentiel dans le département de la Cuvette », en présence notamment du maire de la localité, Gaston Yoka, et de la représentante du Pnud, Adama Dian-Barry.


Dans la Cuvette, la Chambre prévoit également de nouvelles initiatives pour encourager la transformation locale des produits, faciliter l’accès au financement grâce à des partenariats bancaires et formaliser les petites et moyennes entreprises.


Le partenariat entre la Chambre et le Pnud s’était déjà matérialisé à Brazzaville lors de la remise des attestations de la première cohorte. À Oyo, la représentante onusienne a une nouvelle fois encouragé les femmes de la région à renforcer leur esprit entrepreneurial dans des secteurs variés.


Enfin, la directrice générale adjointe de MTN Mobile Money a présenté ce service comme un outil majeur d’inclusion financière, avant de remettre des kits téléphoniques aux participantes afin d’assurer le suivi de leurs projets.

 
 

Pour la première fois, Brazzaville a vibré, le 14 août, au rythme du Brazza acoustique festival, une nouvelle scène musicale désormais inscrite dans le calendrier des festivités marquant l’indépendance de la République du Congo. L’événement, appelé à se répéter chaque année, a offert une soirée d’exception où musique, patrimoine et convivialité se sont mêlés dans une ambiance festive et symbolique. Un festival salué par Rodrigue Nguesso.


Rodrigue Nguesso. Pour la première fois, Brazzaville a vibré, le 14 août, au rythme du Brazza acoustique festival, une nouvelle scène musicale désormais inscrite dans le calendrier des festivités marquant l’indépendance de la République du Congo. Rodrigue Nguesso

Dès les premières notes de « 7 Seconds », un featuring de Youssou N’Dour et Neneh Cherry, interprété par Marie Do en hommage à Youssou N’Dour, invité d’honneur excusé pour cette édition, la salle s’est laissé envahir par l’émotion. Dans une vidéo enregistrée pour l’occasion, l’artiste sénégalais a adressé ses félicitations et promis sa présence l’an prochain. Animée par Daniel Makaya, la soirée s’est ensuite ouverte sur une succession de prestations acoustiques qui ont rappelé l’universalité de la musique et son rôle fédérateur.


Parmi les artistes, Marie-Do a repris avec justesse Greatest Love of All de Whitney Houston, plongeant le public dans une atmosphère mélodieuse. Jams Carlos, lui, a surpris par un détour vers la musique classique avant de passer à la rumba, convoquant l’inoubliable Indépendance Cha-Cha. Liz Babindamana a charmé le public par ses reprises de rumba féminine et l’artiste Archange Salvador a interprété les titres de Fally Ipupa et Koffi Olomidé. La scène a également vu passer Kratos connu pour son morceau Foumba Mwela, avant que l’orchestre Extra musica Nouvel horizon ne vienne clore la soirée dans une explosion de sons et de danses.


L’événement n’a pas seulement séduit par la qualité musicale. Le public, composé d’invités de marque, parmi lesquels les membres du gouvernement, le corps diplomatique et les festivaliers venus d’autres pays, a aussi goûté aux saveurs locales proposées à la dégustation. La dimension conviviale a renforcé l’esprit de partage, rappelant que la fête de l’indépendance est d’abord un moment de communion.


Du côté des artistes, l’émotion était palpable. « Participer à un concert qui marque les 65 ans de notre indépendance, c’est un grand honneur », a confié Liz Babindamana, visiblement émue. Pour elle, cette première édition marque une étape importante : « Nous sommes nombreux au Congo à avoir du talent, et ce festival est une chance de le mettre en lumière ».


Le public a partagé cet enthousiasme. Edvige Claudie, Martiniquaise séjournant à Brazzaville, a salué « un concert réussi, avec de très beaux chanteurs et chanteuses ». Même son de cloche du côté du journaliste congolais de Kinshasa et directeur de Télé 50, Jean-Marie Kassamba, qui a vu dans ce rendez-vous « une opportunité d’encourager les artistes locaux et de renforcer la visibilité de la rumba, patrimoine immatériel ». À travers cette première édition, le Brazza acoustique festival a posé ses bases : faire de la musique un vecteur d’unité et de rayonnement culturel, à la hauteur de l’histoire et de l’avenir du Congo.


Article de Merveille Jessica Atipo publié le 18 août 2025 sur adiac congo

 
 

Message de Rodrigue Nguesso


En ce mois marqué par les célébrations de l’indépendance du Congo, je tiens à saluer toutes les Congolaises et tous les Congolais, ainsi que les nombreux amis étrangers qui participent à la vitalité de notre pays. Le Semi-marathon International de Brazzaville (SMIB) en est une belle illustration, en rassemblant sportifs, institutions et partenaires autour des valeurs d’effort et de fraternité.


Rodrigue Nguesso salue la 20ᵉ édition du Semi-marathon de Brazzaville placé sous le haut patronage du président Denis Sassou N’Guesso

Placée sous le haut patronage du président Denis Sassou N’Guesso, la 20ᵉ édition du Semi-marathon International de Brazzaville (SMIB) a confirmé son importance dans le paysage sportif national et régional. Soutenu par la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC), sponsor officiel, l’événement a rassemblé près de 6000 athlètes issus de tous les départements du Congo et de plusieurs pays africains, sur un parcours officiel de 21,1 km mesuré selon les normes internationales.


Grâce à l’appui logistique et financier de la SNPC, dix athlètes congolais (cinq hommes et cinq femmes) ont bénéficié d’une préparation de trois mois à Eldoret, au Kenya, afin d’améliorer leurs performances et de porter haut les couleurs nationales.


Sur le plan international, la compétition a vu la victoire du Kényan Denis Kipkosgei chez les hommes (1h04’32’’), suivi de l’Ougandais Ezékiel Chepkorom et du Rwandais Félicien Muhitira. Chez les femmes, l’Ougandaise Ruth Cheptoyek s’est imposée en 1h13’10’’, devançant la Tchadienne Frida Hassanatte et la Rwandaise Emeline Imanizayo.


Les Congolais n’ont pas démérité. Jean Marie Sametone Matena Libombo a terminé premier national en 1h09’05’’, tandis que Ladelice Matoumbissa s’est distinguée chez les femmes en 1h16’30’’, devant Cleme Mambeke et la tenante du titre, Missamou Bafoundissa Léonce Chardevie.


Cette édition a également été marquée par la remise de distinctions. L’association Sport et Loisirs (ASEL), partenaire du SMIB, a attribué un trophée en bronze de 23 kilos au président Denis Sassou N’Guesso, en reconnaissance de son engagement en faveur du sport et de la jeunesse. Des trophées ont également été remis au directeur général de la SNPC, Maixent Raoul Ominga, et au président du comité de direction du SMIB, Raymond Ibata.


Enfin, les récompenses financières des athlètes nationaux ont été revalorisées, avec des primes respectives de 2 500 000, 2 000 000 et 1 500 000 FCFA pour les trois premiers, soit une augmentation de 500 000 FCFA par rapport aux années précédentes.


Le SMIB, organisé depuis vingt ans, demeure un rendez-vous fédérateur. Inscrit dans la continuité des célébrations de l’indépendance, il illustre la volonté de promouvoir le sport comme vecteur d’unité et de rayonnement pour le Congo.

 
 

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