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La capitale économique, Pointe-Noire, a accueilli, du 17 au 19 octobre 2025, le 1er hackathon des océans du Congo, un événement innovant organisé par l’ONG Renatura Congo en partenariat avec l’ambassade de France et les start-up Fablab et Yamify. Une initiative saluée par Rodrigue Nguesso.


Une initiative saluée par Rodrigue Nguesso. La capitale économique, Pointe-Noire, a accueilli, du 17 au 19 octobre 2025, le 1er hackathon des océans du Congo, un événement innovant organisé par l’ONG Renatura Congo en partenariat avec l’ambassade de France et les start-up Fablab et Yamify.

Cette compétition à laquelle plus de 350 000 enfants ont été sensibilisés sur la protection de l’environnement marin s’inscrit dans le cadre du concours international organisé par le Campus de la Mer à Brest. Il vise à proposer des solutions numériques innovantes pour la conservation des océans.


Pour cet événement, Congo Terminal a été représenté au jury par Raïssa Dekambi, chef de Service Qualité, Compliance et RSE. Son rôle a été déterminant dans la sélection des projets les plus prometteurs combinant innovation, viabilité et impact environnemental.

« Participer à ce hackathon est une belle occasion pour Congo Terminal de soutenir la jeunesse et de valoriser les initiatives innovantes dans la protection de nos océans. Nous sommes fiers de contribuer à la sensibilisation et à la promotion de solutions durables pour nos écosystèmes marins », a déclaré Raïssa Dekambi, membre du jury.


L’événement a rassemblé des étudiants, jeunes professionnels et passionnés de technologie autour d’un enjeu majeur : préserver la biodiversité marine grâce au numérique.


Les meilleures initiatives ont été récompensées lors de la remise des prix, au terme de trois jours d’ateliers, prototypages et présentations.


La Participation de Congo Terminal à ce premier hackathon illustre l’engagement de cette société dans la protection l’environnement, en soutenant des projets innovants portés par la jeunesse congolaise.


Depuis 2016, l’entreprise a conclu un partenariat avec Renatura pour accompagner les projets de sensibilisation à l’environnement dans les écoles à Pointe-Noire et ses environs. Cette Ong mène en parallèle plusieurs actions autour de l’étude et la protection des tortues marines et de leur habitat dans le pays.


Article de Guy-Gervais Kitina publié le 23 octobre 2025 sur adiac congo

 
 

Le chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso, a inauguré le 24 octobre le complexe scolaire de la Liberté, situé dans le sixième arrondissement de Brazzaville, Talangaï. Un événement salué par Rodrigue Nguesso.


Rodrigue Nguesso Brazzaville. Le chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso, a inauguré le 24 octobre le complexe scolaire de la Liberté, situé dans le sixième arrondissement de Brazzaville, Talangaï.
Denis Sassou N’Guesso posant avec les élèves du complexe scolaire de la Liberté

Don de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC), le complexe de la Liberté est implanté sur une superficie de 30 000 m², soit trois hectares. Il comprend en son sein deux écoles préscolaires, six écoles primaires, deux collèges d’enseignement général et un lycée moderne dont la première année est réservée aux élèves de la seconde. Le tout pour une capacité d’accueil de dix mille élèves. Selon le directeur général de la SNPC, Maixent Raoul Ominga, qui a présenté la fiche technique, cette infrastructure scolaire compte vingt-quatre bâtiments dont douze de type R+1 et 85 salles de classe.


Construit au quartier 607 Liberté, cet établissement scolaire a connu depuis sa création en 1966 sous l’appellation de l’école de Talangaï plusieurs mutations et innovations. Représenté par deux bâtiments dès sa création, cet établissement avait été débaptisé École primaire de la Liberté en 1970 par le président Marien Ngouabi après la construction de deux nouveaux bâtiments. En 1980, il a connu une réorganisation structurelle ayant abouti à la création de deux établissements issus d'une même entité, notamment Liberté primaire 1, et Liberté primaire 2.


C’est en 1985 que le CEG de la Liberté a été créé et subdivisé en quatre établissements, à savoir Liberté A1, Liberté A2, Liberté B1, Liberté B2. Le préscolaire de la Liberté, quant à lui, a été créé en 2007. Aujourd’hui, l’École de la Liberté est devenue Complexe scolaire de la Liberté avec en son sein les cycles préscolaire, primaire, secondaire du 1er et second degré de l’enseignement général.


Le ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Jean Luc Mouthou, a rappelé que l’inauguration du complexe scolaire de la Liberté confirme la volonté du chef de l'Etat, Denis Sassou N’Guesso, d’améliorer les conditions d’études dans les établissements scolaires. Il s’agit également d’une occasion « de rapprocher l’école du domicile des apprenants, de renforcer l’encadrement des enseignants et de rehausser la qualité des apprentissages. Cette démarche conforte la politique gouvernementale d’égalité des chances et d’investissement dans le capital humain dans notre pays », a-t-il soutenu.


Un bain de foule aux allures des joutes électorales


Après la coupure de ruban marquant la mise en service du complexe scolaire de la Liberté et la visite de quelques compartiments de ce joyau architectural, le président de la République a répondu aux questions de la presse. Sur les actes inciviques souvent constatés au niveau des infrastructures concernant l’entretien, Denis Sassou N’Guesso a déploré le manque de patriotisme de certains Congolais, tout en instruisant le gouvernement à prendre le taureau par les cornes. « Il y a l'éducation aussi. L'éducation en question, ce n'est pas seulement pour les enfants, les écoles. L'éducation civique, il y a même un département ministériel qui en a la charge. C'est pour éduquer les adultes aussi », a lancé Denis Sassou N’Guesso.


Tout au long de son passage, le chef de l’Etat, à bord de sa Nissan Patrol à toit ouvert, a eu droit à un véritable bain de foule. En effet, des milliers de Congolais se sont entassés du rond-point Ebina jusqu’aux environs du complexe de la Liberté pour saluer non seulement l’ouvrage érigé mais aussi le retour de Denis Sassou N’Guesso dans le 6e arrondissement, considéré à tort ou à raison comme le siège du Parti congolais du travail (PCT). Interrogé sur cette effervescence de la population qui rappelle son accueil le 5 juin 2000, lors de l'inauguration de l'avenue Marien-Ngouabi, le président de la République n’a pas hésité de répondre.  


« Vous ne vous trompez certainement pas. C'est cet arrondissement qui m'a accueilli le 5 juin 1997, lorsque j'avais été chassé de mon arrondissement. Mais en réalité, tous les départements du Congo sont les fiefs du Parti congolais du travail. Je crois que vous pouvez relire les résultats, toutes les élections. Oui, cet arrondissement m'accueille toujours avec ferveur, comme les autres. Il n'y a pas longtemps, j'étais à Madingou, il y avait à Madingou la même fièvre qu'aujourd'hui. Parce que là-bas, j'allais lancer des activités agricoles. Je souhaite plutôt qu'il y ait toujours cet enthousiasme partout, cette mobilisation parce que nous sommes dans une phase de construction du pays. Il faut que les forces vives soient toujours mobilisées », a répondu le chef l’Etat.


Au centre de cette grande mobilisation, des élus, des partis politiques de la majorité présidentielle ainsi que des associations et dynamiques qui soutiennent l’action du président de la République. En tête d’affiche, on a pu voir la Génération auto-entrepreneur d’Elvis Digne Tsalissan Okombi avec sa dynamique le « Patriarche » qui en a monté tout un podium ; le PCT et ses unions catégorielles avec leur « Timonier », l’Association Mpila sans frontière, l'Initiative populaire pour le renouveau citoyen, le Mouvement des jeunes présidentiels de Donald Mobobola et bien d’autres.


Article de Parfait Wilfried Douniama publié le 25 octobre 2025 sur adiac congo

 
 

Dans l’objectif de contribuer à l’effort de lutte contre le cancer en République du Congo, la présidente de la fondation Tabita-Allégresse, Lydie Léonce Ndongo, a organisé le 23 octobre, dans la salle du mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza, à Brazzaville, un master class en vue de sensibiliser la population aux dangers liés au cancer du sein et de l’utérus. Une initiative saluée par Rodrigue Nguesso.


Rodrigue Nguesso salue l'initiative. Dans l’objectif de contribuer à l’effort de lutte contre le cancer en République du Congo, la présidente de la fondation Tabita-Allégresse, Lydie Léonce Ndongo, a organisé le 23 octobre, dans la salle du mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza, à Brazzaville, un master class en vue de sensibiliser la population aux dangers liés au cancer du sein et de l’utérus.

En présence de plusieurs organismes sociétaux, notamment des Nations unies et des institutions de santé, la présidente de la fondation Tabita-Allégresse, Lydie Léonce Ndongo, a fait part de son combat contre le cancer. « L’origine personnelle de la fondation est née de la disparition de ma mère, feue Tabita Allégresse Mokana Ndongo, des suites d’un cancer du pancréas en 2017 », a-t-elle déclaré avec émotion, rappelant « qu’aucune femme, aucune famille ne devrait traverser seule ce que nous avons vécu ».


C’est à la suite de cette dure épreuve qu'elle a placé la sensibilisation et le dépistage précoce du cancer au cœur de ses actions. « Face au défi qui est le manque de moyens, la fondation mise sur la synergie des partenaires pour faire reculer la maladie », a-t-elle dit. Elle lance un appel solennel à toutes les entreprises et institutions de bonne volonté à la soutenir. « Le cancer n’est pas seulement un défi médical, c’est aussi un enjeu humain, social et économique. Votre appui peut permettre à une femme de se faire dépister à temps, ou à une mère d’accéder à un traitement », a-t-elle ajouté.


De son côté, le Fonds des Nations unies pour la population, à travers son partenariat technique et stratégique, a salué le leadership constant du gouvernement en faveur de cette cause vitale. Il a rappelé que ces journées scientifiques sont le moment de s'approprier de nouveaux outils, de renforcer les capacités et de multiplier les efforts de sensibilisation, pour faire en sorte que le dépistage précoce ne soit plus une simple option, mais une réalité accessible et systématique pour chaque femme. « Nous avons le privilège de soutenir cette lutte par la production des documents des lignes directrices nationales de prise en charge des cancers courants dans l'éthique sanitaire. Le document fondamental est la boussole qui guide les professionnels de santé dans la détection et la prise en charge précoce, garantissant ainsi une approche standardisée et de qualité sur l'ensemble du territoire », a expliqué son représentant, Bruno Bilombo.


Participant à l'événement, la directrice du mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza a rappelé l’essence de son institution à la lutte contre le cancer du sein. « Notre institution, le mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza, qui est par essence un lieu de transmission, ne pouvait guère rester en marge de cette lutte. Car ici, nous honorons certes la mémoire des bâtisseurs d'hier, mais nous avons aussi le devoir de protéger les vies d'aujourd'hui et d'éclairer les consciences de demain. En accueillant les journées scientifiques d'Octobre rose, le mémorial Pierre-Savorgnan-de-Brazza, dépositaire d'un héritage mémoriel et patrimonial commun, s'inscrit résolument dans la dynamique d'une communauté qui choisit de soigner autant que de bâtir, de prévenir autant que de protéger », a indiqué Bélinda Ayessa.


Selon les statistiques, le cancer au Congo connaît une augmentation progressive en lien avec le vieillissement de la population, la transition épidémiologique et l’évolution des modes de vie (Tabac, alcool…). 2727 cas de cancer ont été recensés en 2022, dont 1732 décès à cause des diagnostics tardifs, du manque de dépistage organisé et de l’accès limité aux traitements et au manque des infrastructures.


Le ministère de la Santé et de la Population, par le biais de son représentant, François Lebama, a réaffirmé l’engagement du pays à réduire le taux de mortalité lié au cancer du sein et du col de l’utérus, à travers le Plan stratégique national de lutte contre le cancer 2022-2026.

 

Article de Jean Pascal Mongo-Slyhm publié le 25 octobre 2025 sur adiac congo

 
 

© 2025 - Rodrigue Nguesso

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