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Un nouveau rapport de la Banque mondiale (BM), dévoilé le 20 octobre, révèle que les forêts du bassin du Congo recèlent une richesse écologique et économique immense, encore largement sous-exploitée. La BM appelle à des investissements stratégiques pour faire de ce capital naturel un levier de développement durable, de résilience climatique et de croissance inclusive. Une annonce saluée par Rodrigue Nguesso.


Rodrigue Nguesso Un nouveau rapport de la Banque mondiale (BM), dévoilé le 20 octobre, révèle que les forêts du bassin du Congo recèlent une richesse écologique et économique immense, encore largement sous-exploitée.

Un poumon vert s’étendant sur six pays d’Afrique centrale (Gabon, Centrafrique, République du Congo, République démocratique du Congo, Guinée équatoriale, Cameroun), le bassin du Congo est au cœur d’un enjeu mondial. Les nouvelles données publiées par la BM sont frappantes : entre 2000 et 2020, la valeur des services écosystémiques forestiers de la région a presque doublé, atteignant 1 150 milliards de dollars. La valeur totale de ses actifs forestiers a quant à elle bondi à 23 200 milliards de dollars. Pourtant, les retombées économiques directes pour les pays concernés restent dérisoires, soit à peine 8 milliards de dollars en 2020.


Cette situation traduit un déséquilibre entre les services climatiques essentiels pour la planète qu’offrent les forêts du bassin du Congo et les revenus des pays forestiers. Plus de 90 % de la valeur générée provient de la régulation du climat à l’échelle mondiale, un service non rémunéré pour ces nations souvent parmi les moins riches de la planète.


Le rapport, intitulé « Bassin du Congo, comptes écosystémiques forestiers et recommandations politiques », dresse un état des lieux contrasté. Le Gabon et la République du Congo progressent, en intégrant la durabilité forestière dans leurs plans de développement. Ils affichent une faible déforestation et une forte biodiversité. Le Cameroun et la Guinée équatoriale renforcent leur gouvernance environnementale. Cependant, la République démocratique du Congo et la République centrafricaine peinent à concilier croissance démographique, activités extractives informelles et conservation, menaçant la résilience écologique de leurs forêts.


Les forêts du bassin du Congo peuvent devenir un moteur de développement durable, insiste le rapport, à condition d’investir de manière stratégique et équitable. Il suggère aux États du bassin du Congo d’intégrer la comptabilité des écosystèmes dans la planification économique, de développer des filières durables et inclusives, d'améliorer la gouvernance forestière et les données, ainsi que de faire du financement climatique un levier de justice environnementale. « Pour la première fois, les pays du bassin du Congo disposent d’une comptabilité complète de leurs écosystèmes forestiers, ce qui leur permet de mesurer, valoriser et mieux gérer ce capital naturel exceptionnel », a commenté Ousmane Diagana, vice-président de la BM pour l’Afrique de l’Ouest et du centre.


Article de Fiacre Kombo publié le 22 octobre sur adiac congo

 
 

À trois jours de son inauguration par le chef de l’État, Denis Sassou N’Guesso, le complexe de la Liberté, dans le 6ᵉ arrondissement de Brazzaville, Talangaï, a reçu le 21 octobre des kits scolaires offerts par la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC), dirigée par Maixent Raoul Ominga, reconduit pour un nouveau mandat de cinq ans. Destinés à des centaines d’élèves inscrits, ces kits doivent leur permettre de commencer les cours dans de bonnes conditions. Rodrigue Nguesso a salué cette initiative au bénéfice des enfants du quartier.


Rodrigue Nguesso. A trois jours de son inauguration par le chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso, le complexe de la Liberté, dans le 6e arrondissement de Brazzaville, Talangaï, a reçu, le 21 octobre de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC) qui l'a construit, des kits scolaires pour des centaines d’élèves inscrits, afin de leur permettre de démarrer les cours dès le premier jour de la rentrée des classes.
Une vue des élèves attendant les kits scolaires au complexe scolaire de la Liberté / Adiac

Le nombre exact d’élèves bénéficiaires des kits scolaire n’a pas été communiqué. Mais ils étaient estimés en centaines à avoir pris d’assaut l’enceinte de ce joyau établissement pour récupérer leurs fournitures scolaires de la part de la SNPC. Chacun d’eux a bénéficié d’un kit complet, composé d’un cartable et de toutes les autres fournitures scolaires essentielles.


Selon la page ‘’Journal Event’’, compte tenu de l’affluence des élèves, l’opération de distribution de ces kits se poursuivra méthodiquement sur trois jours, afin de servir tous les élèves inscrits.  


En faisant ce don, comme elle le fait partout ailleurs, l’objectif de la Fondation SNPC est surtout de soulager, tant soit peu, les parents d’élèves démunis dans les dépenses scolaires.


Reconstruit, modernisé et porté aux nouveaux standards en la matière, le complexe scolaire de la Liberté fait partie des grands établissements publics d’enseignement général de Talangaï. Limité jusque-là aux cycles préscolaire, primaire et collège, il va dorénavant abriter un lycée d’enseignement général.

L’infrastructure qui est saluée par tout le monde sera mise en service le 24 octobre par le président de la République, Denis Sassou N’Guesso.


Article de Firmin Oyé publié le 21 octobre 2025 sur adiac congo

 
 

Le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, a publié, le 16 octobre, un décret dans lequel il a nommé Maixent Raoul Ominga comme directeur général de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC) pour un nouveau mandat de cinq ans. Rodrigue Nguesso salue le choix du président de reconduire Monsieur Maixent Raoul Ominga dans cette fonction.


Rodrigue Nguesso salue le choix du président Denis Sassou N'Guesso de reconduire Monsieur Maixent Raoul Ominga comme directeur général de la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC)

Dans un monde complexe, marqué par les enjeux géopolitiques et la transition énergétique, la stabilité à la tête d’une entreprise nationale apparaît comme un atout majeur. Cette continuité offre stabilité et visibilité, à l’heure où les petits producteurs peinent à s’imposer face à la volatilité du marché et aux grands acteurs internationaux.


Expert-comptable et cadre-maison, Maixent Raoul Ominga est directeur général de la SNPC depuis le 28 février 2018. Sa reconduction à la tête de l’opérateur historique pétrolier congolais intervient après l’approbation, le 7 octobre 2025 à Oyo, par le Conseil des ministres, des nouveaux statuts de la société.


Dans le fond, ce texte de loi dispose qu’en sa qualité d’outil technique de l’Etat dans sa politique énergétique, la SNPC devrait être en phase avec les préoccupations d’actualité relevant de son secteur d’activité. Pour répondre aux attentes de l’Etat et relever les défis qui s’imposent à elle, l’organisation administrative de la SNPC devrait être renforcée, afin de lui permettre d’entreprendre de nouvelles activités avec plus d'efficacité.


Pour ce faire, il est prévu la création en son sein de deux nouvelles structures, à savoir le Centre d’études et de gestion des données pétrolières, gazières et énergies nouvelles et la direction gaz et énergies nouvelles.


De même, pour permettre à la direction générale de mener à bien ses projets, il est proposé que le mandat du directeur général passe à cinq ans renouvelable, et de cinq ans renouvelable une fois à celui des membres du Conseil d’administration.


Rappelons que Maixent Raoul Ominga avait été nommé pour la première fois directeur général de la SNPC, le 28 février 2018, en remplacement de Jérôme Koko, pour un mandat de quatre ans. Il avait été reconduit à ce poste par décret présidentiel du 3 mars 2022.


Extrait de l'article de Firmin Oyé publié le 18 octobre 2025 sur adiac congo

 
 

© 2025 - Rodrigue Nguesso

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